Serge Gainsbourg – La chanson du forçat
Des calembours, des détournements, des substantivations. Une langue libérée au service de la poésie, dans une chanson qui parle de la prison. Du grand art.
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Publié par Vanessa Fantinel | Mis à jour le 21/12/2020 | Publié le 03/10/2015 | Arts, Les murs ont des oreilles
Des calembours, des détournements, des substantivations. Une langue libérée au service de la poésie, dans une chanson qui parle de la prison. Du grand art.
Lire la suiteQu’il [le psychanalyste] connaisse bien la spire où son époque l’entraîne dans l’œuvre continuée de Babel, et qu’il sache sa fonction d’interprète dans la discorde des langages.